Dimanche 28 septembre 2008 à 11:57


POISSONS
20 Février-20 Mars

Sur le plan personnel, une saison d'échanges passionnants : vous vous sentirez en veine de rencontre. Seule? Un artiste aurait ses chances (le 7). En couple? Bougez avec votre compagnon! Travail: prendre des risques et négocier. De nouveaux engagements scintillent sur la ligne d'horizon. Finances plutôt en formes, humeur hyper concrete, tant mieu!




Hey Géniositée... merciii    <3

Vendredi 19 septembre 2008 à 14:37

Malade à en expulser mes boyaux en toussant, me voilà coincée, par ce beau temps, dans un pull de berger extra-méga-gigantesque, un vestige de l'époque hippie d'mamounette sans doute. Bref, sexy attitude à fond les marrons vous l'aurez compris, mon nez n'est pas rouge vif et plein de substance douteuse, tout comme je n'ai point les poches de Gulliver sous les yeux. Non non voyons...

Thanks god, magasines féminins extrêmement intellectuels, et films à l'eau de roses hyper indé' et engagés, (oui oui  -_-') sont là, me sortant de ce gouffre de morve !

Moi, Ô presque-femme, au milieu de mes kleenex usagées je le proclame : je rêve à cette seconde même de talons, et un minimum haut s'il vous plait!! Alors qu'Adriana a des gambettes qui m'arriveraient à moi, aux épaules, j'ai bien compris, totalement manipulée par ces magasines (si dessus) que oui... il fallait devenir grande un jour...
Lilliputienne que je suis.... Je veux être inondée de sacs de la mort qui tue, de talons à m'en bousiller ma seule cheville totalement valide, des fringues à n'en plus pouvoir respirer tellement le choix serait grand... Extrêmement superficielle? Victime de cette société de consommation, des médias, créateurs frustrés et stars toxicos??! Pfouu Ooh Oui et sa mère que c'est bon !  (Thanks to English lessons warning us against fashion and its dictatorship, really...)


En fait...pour de vrai de vrai... Je ne suis pas comme ça (enfin qu'un petit peu, Ok à moitié, voire trois quarts, mais Stop !), d'ailleurs je ne dis jamais "sa mère", c'est d'un vulgaire fou (bon OKAY, je le dis, mais ça reste secret parce que c'est tout sauf glamorous comme stuff !).
Cette exagération plus ou moins mesurées est disons une thérapie, certaines admirables pouffiasses enchainent les soupes de langues masculines et bien baveuses lors de soirées trop arrosées, d'autres chères compatriotes écrivent un journal, quelques courageuses chialent à en perdre les eaux (n'importe quoi Léa vraiment! mais J'AI DE LA FIÈVRE  OK ?!)...
Bref, le trop plein alcoolique, engendrant relations plus que honteuses avec sexe opposé,  suivis de vomissements devant attendre Samedi soir, le stock de larmes étant épuisée, et le journal... ben non. Ma thérapie à moi c'est ici, déblatérant des bêtises plus grosses que moi.

...espérant malgré moi, le moindre signe  de vie de sa part.


Les chansons mielleusement belles et amoureuses, me serrent trop fort le cœur.
Je les zape.


Étouffant, reniant, tous sentiments.



Vendredi 12 septembre 2008 à 20:10

Samedi 23 août 2008 à 15:30



Ce même amour follement passionnel, follement indescriptible.
Encore. Toujours...



Vendredi 25 juillet 2008 à 22:13

<<   J'aurais bien voulu pour passer le temps te serrer dans mes bras amicalement. Mais le temps qui passe n'est pas à tes yeux, un argument apparemment suffisant. Alors je reste à ma place et tu restes à ta place. Mais quitte moi cet air suffisant. Alors tu restes a ta place et je reste a ma place. En attendant vivement le printemps. J'aurais bien voulu t'enlever en voyage. Une croisière de rêve au pays des mirages. J'ai cherché un paquebot et c'était la galère, les rames étaient trop courtes pour atteindre le niveau d'la mer. Alors je reste à ma place et tu restes à ta place. Je ne voudrais pas avoir l'air suppliant. Mais si je reste à ma place quand tu restes à ta place, à l'automne on attendra le printemps. J'aurais bien voulu réagir virilement. Me jeter sur toi et t'arracher tous tes vêtements. Mais j'ai su rester digne ou alors un peu niais. J'en bouffe encore ma casquette et j'ai du mal à digérer...Que je suis assis en face et pas à tes côtés. Qu'à tes côtés y'a plus de place et qu'je ne peux pas rester. Même si c'est juste en face c'est juste pas assez. C'est pas juste tout court et je me sens comme condamné. J'aurais bien voulu avoir une pêche d'enfer, te sourire sincèrement, te dire "ouais ça va super". Mais j'ai du mal à mentir surtout quand c'est pas vrai. J'ai l'ego dans mes chaussettes et les godasses sur le point de craquer. (...) J'aurais bien voulu qu'on en reste là. Tourner les talons, merci, ciao, basta. Mais j'ai le cœur en mousse et la tête en bois. Même si j'ai la frousse ça ne m'empêchera pas de traverser la brousse de braver l'effroi, de tendre le pouce pour partir avec toi. Même la mort aux trousses ne m'arrêtera pas.  Jusqu'à ce que tu m'ouvres la porte de tes bras. (...)  >>

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | Page suivante >>

Créer un podcast